«
Le Sénégal vient de perdre un de ses plus illustres fils », a déclaré
le président sénégalais Macky Sall ce dimanche matin à Dakar.
Serigne Mansour Sy est l’un des petits fils d’el-Hadj Malick Sy, fondateur de l’école de Tivaouane, qui est devenu le berceau de la Tidjanie au Sénégal.
Il a consacré toute sa vie à l’enseignement du Coran. D’où son surnom en wolof, « Borom Daradji », soit en français « le propriétaire des écoles, le maître des écoles ».
Serigne Mansour Sy était un homme de Dieu, un homme respecté, un homme populaire aussi qui était plus qu’un guide religieux, puisqu’il a également joué un rôle important de médiation dans la vie de son pays. C'était un homme que l'on venait consulter en cas de crise, de violences, de mouvements sociaux.
La confrérie des Tidjanes a été fondée au XVIIIe siècle. C’est la plus importante confrérie en nombre puisque la moitié des Sénégalais sont des Tidjanes. Mais la confrérie a des adeptes dans toute l’Afrique, surtout au Ghana, au Nigeria, au Niger et en Mauritanie.
Serigne Mansour Sy est l’un des petits fils d’el-Hadj Malick Sy, fondateur de l’école de Tivaouane, qui est devenu le berceau de la Tidjanie au Sénégal.
Il a consacré toute sa vie à l’enseignement du Coran. D’où son surnom en wolof, « Borom Daradji », soit en français « le propriétaire des écoles, le maître des écoles ».
Serigne Mansour Sy était un homme de Dieu, un homme respecté, un homme populaire aussi qui était plus qu’un guide religieux, puisqu’il a également joué un rôle important de médiation dans la vie de son pays. C'était un homme que l'on venait consulter en cas de crise, de violences, de mouvements sociaux.
La confrérie des Tidjanes a été fondée au XVIIIe siècle. C’est la plus importante confrérie en nombre puisque la moitié des Sénégalais sont des Tidjanes. Mais la confrérie a des adeptes dans toute l’Afrique, surtout au Ghana, au Nigeria, au Niger et en Mauritanie.
Souleymane Seye
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